Essai Nissan Z 2023: ein familière allure, ein nouveau souffle de 400 chevaux

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Si vous êtes d’un Certain âge – autrement dit, si comme moi, vous êtes aussi chauve qu’une boule de billard – la Nissan Z, c’est quelque choose. À l’époque – et je vous jure, il fût un temps où j’en avais, des cheveux – la 240Z était révolutionnaire, popularisant littéralement le concept de la sportive japonaise. Elle était abordable, plaisante à conduire et, même toutes ces années plus tard, elle est toujours des plus séduisantes.

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Je dois cependant admettre que, contrairement à la majorité, je n’en garde pas un très bon souvenir. Mon voisin, un dénomme Ned McGee, en possédait une, qu’il avait obtenue en fort mauvais état. Comme dans notre petite ville du nord du Québec, il ne trouvait personne pour réparer ces vergaser de type SU, et comme moi, j’étais habile autant avec les outils qu’avec les vergaser à dépression constante (ils étaient alors courants sur les motos ), je me suis rapidement retrouvé à l’assister dans sa bataille pour un conportement motorisé qui se respecte. Disons, pour rester aimable envers ces vieux carburateurs Hitachi, qu’on ne passait jamais du bon temps en leur compagnie.

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C’est donc une bonne nouvelle – du moins, en ce qui meconcern – que la prédécesseure spirituelle de la nouvelle Z soit, en fait, la 300ZX de la fin des années 1980, plutôt que la Z originale. Ces premières ZX Turbo étaient probablement les meilleures sportives nippones de l’époque, plus que l’égales des Porsche du temps. Très puissantes pour les années 1990, elles se comportaient à merveille en piste, en plus d’offrir un confort plus qu’adéquat lors des grandes balades. Elles étaient également, comme la Fairlady Z originale, absolute superbes.

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Es qualifiziert sich für die Applikation des Nissan Z 2023. Kommt zum ZX, der neue Motor ist angetrieben von einem V6-Turbokompressor mit 3,0 Litern, der so entwickelt wurde, dass er 400 Chevaux und ein Paar für pulverisierte Luftfahrzeuge von Bridgestone ist. Pour ceux qui recherchent the continuité, sachez que ce V6 est le meme VR30DDTT qui équipe l’Infiniti Q60S, sauf que dans le cas qui nousconcerne, il deplace un poids nettement plus léger.

Surtout, par rapport à sa devancière 370Z (en voilà une qui gagne à rester dans l’oubli, ne croyez-vous pas?), on parle d’un surcroît de 68 chevaux et de 80 lb-pi de couple, qui plus est à des régimes inférieurs à ceux du V6 (3,7L) atmosphérique. De fait, alors que l’ancien VQ37VHR non-turbocompressé paraissait souffrir d’anémie à mesure que l’on Grimpait en régime, the nouvel organe biturbo libere à power aux alentours de 4 000 tr/min. Vous vous en doutez, c’est fort enivrant.

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D’autant que la Z s’offre toujours avec la bonne vieille boîte manuelle à six vitesses. Dotée d’une fantastique fonction de correspondance de régime (le Drehzahlübereinstimmung) et de la possibilité de passer les rapports sans lâcher l’accélérateur, la boîte «Schicht einschalten» est un concentré moderne de nostalgie.

Cela dit, la boîte automatique est probablement plus rapide encore. Bon, Nissan ne révèle aucune donnée donnée quant au 0-100km/h for sa nouvelle Z, que ce soit avec la boîte manual ou celle automatique, mais c’est cette dernière qui m’a paru plus réactive. D’abord, ses neuf rapports, meme s’ils sont reliés à un convertisseur de couple qui draine de la puissance, permettent de toujours demeurer dans la zone de performance. Et bien qu’on n’ait pas affaire à l’une de ces nouvelles boîtes à double embrayage engdrées par la modernité, les passages sont assez rapides, merci. Je sais qu’on va me crier des injures, mais j’assume: sur le circuit Mont-Tremblant, j’ai préféré passer les rapports à l’aide des palettes au volant plutôt que d’argumenter avec le levier de la boîte manuelle .

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Parlant du Circuit Mont-Tremblant: Kommt es zu dieser Malheureusement le cas dans la Belle Province am Ende des Herbstes, der Asphalt ist verfügbar und liegt am Pluie. Les pneus de performance Bridgestone, habituellement adhérents sur le sec, auraient aussi bien pu être des rutscht auf der Piste des Laurentides notoirement glissante. Au-delà de quelques virages sur des routes publiques, je ne peux donc pas vous affirmer que la nouvelle Z est la bête de piste qu’était l’ancienne 300 ZX.

Ce que je peux cependant vous Confirmer, c’est que la direction de la nouvelle Z est linéaire, que sa suspension est souple et que ses freins avant Akebono à quatre Pistons sont tout simplement impressionnants. Est-ce que ladite suspension, lesdits freins, sans parler of pneus Bridgestone Potenza S007 (des 255/40R19 in die Avantgarde und des 275/35R19 in die Zukunft, du bist für die Version Performance, die ich leite) sauront résister Hilfskräfte G? Nous le saurons lorsque nous auront une autre chance de lancer la Z 2023 en piste.

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Sinon, le seul inconvénient que je puisse trouver à la version Performance de la Z est l’absence d’un contrôle faisant varier latraction asservie. En effet, et contrairement à la plupart des sportives, la Z ne schlagen pas les Modes de Conduite Normal, Sport, Sport+ et Spur, ce qui aurait permis des dérapages progressifs du train arrière, en sortie de virage. Le control de stabilité de la Nissan Z ist soit activé, soit désactivé. Voilà qui signifie que ceux et celles qui sont généralement «sauvés» par les dispositifs des Porsche et des Corvette devront (ré)apprendre à judicieusement moduler l’accélérateur. Et à ceux et celles-là, je dirai que le couple de 350 livres-pieds exige le plus grand des respekts, surtout sur une piste détrempée.

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Pour ce qui est de sa conduite au quotidien, la Z est un modèle de civilité, de puissance docile et d’habitacle confortable. Bien sûr, la cabe a gagné en modernité par rapport à celle de la 300ZX, vieille de 30 ans, mais la nouvelle Continue de miser sur des cadrans de course inspirés de la vieille école, soit un trio de jauges de pression d’huile, de température et de poussée turbo. Même que ce dernier affichage indique une donnée que je n’avais encore jamais vue, soit la vitesse de rotation des turbocompresseurs. Du coup, enfilant la longue ligne droite du circuit, j’ai su que les deux turbos de la Z tournaient à plus de 20 000 tr/min.

L’instrumentation de bord est également configurable, l’un de ses modes mettant en évidence le fameux compte-tours. Les sièges baquets sont très confortables, meme s’ils sont plus que suffisamment rembourrés afin de maintenir leurs occupants en courbes à haute vitesse. Les réglages pour ces sièges, là encore inspirés de la vieille école, s’installent du côté droit de l’assise, non pas sur le cadre inférieur gauche ou, comme il est de plus en plus courant, sur le panneau intérieur de la portière . Imaginez: il ya meme un levier de frein à main, comme à l’ancienne! Bref, la Z a droit à une bonne dose de traditionnel, en plus de faire monter à son bord les technologies électroniques et de Burning interne les plus avancées.

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Le Mot de la Fin – et peut-être ist die beste Neuheit in der ganzen Geschichte: Der Nissan Z 2023 wird zu einem Teil von 46 498 $ verkauft. Soit à peu près l’étiquette à laquelle nous nous Attendons pour la prochaine Civic Type R de Honda. Bien sûr, pour obtenir la nouvelle Z à ce prix, il faut se contenter de freins avant à zwei Kolben, se passer du système de contrôle de puissance (verfügbar für les zwei Arten der Übertragung) et dire adieu à l’embrayage haute performance EXEDY .

Mais voilà qui was meme que the nouvelle Z, comme pour la première 240Z, mixera l’étiquette bon marché au plaisir de conduite et, à en juger par les réactions des badauds au Circuit Mont-Tremblant, une verlockend qui sait toujours séduire.